- Hollie Briggs, Head of Global Product management, Loomis Sayles
- Mabrouk Chetouane, Responsable de la stratégie de marchés, Natixis Investment Managers
- Julien Dauchez, Directeur du pôle Solutions Clients, Natixis Investment Managers
- Pascal Gilbert, Gérant obligataire, DNCA Finance
- Sébastien Gyger, Chief Investment Officer & Head of the Investment Policy Departement, Banque Cantonale Vaudoise
- Daniel Nicholas, Client Portfolio Manager, Harris Associates
- Guilhem Savry, Head of Equity & Fixed Income Strategy, Edmond de Rothschild
L’analyse et les opinions ci-dessous sont tirées d’un déjeuner-conférence « Perspectives 2026 : Show must go on ?» et organisé par les équipes commerciales de Natixis Investment Managers en charge de la distribution en Suisse romande le jeudi 4 décembre 2025 à l’hôtel des Bergues à Genève. Les experts de Natixis Investment Managers et ses affiliés (DNCA, Loomis Sayles et Harris Ι Oakmark) ainsi qu’un panel d’investisseurs romands y ont partagé leurs perspectives pour 2026 et les grandes tendances d’allocation de portefeuille.
L’année 2025 a été marquée selon Pascal Gilbert, gérant obligataire chez DNCA Finance, par des changements politiques, économiques et technologiques majeurs, appelés selon lui à durer, tels que les bouleversements géopolitiques, la montée du populisme, la révolution de l’Intelligence Artificielle (IA) et le plan allemand de relance. Etonnamment, ces virages qui auraient pu générer de l’instabilité n’ont fait dérailler ni l’économie, ni les marchés. Après une bonne année 2025, marquée par une croissance solide (+3.2% dans le monde à fin octobre selon le FMI) et une inflation dont le rythme ralentit (+3.7% dans le monde à fin octobre selon le FMI), que nous réserve 2026 ? Selon le FMI, les prévisions sont à l’avenant, avec un niveau de PIB globalement étale et une inflation qui continue de ralentir1. Ces perspectives globales méritent d’être nuancées par région, en distinguant les Etats-Unis de l’Europe.
Aux Etats-Unis, la croissance n’est pas un sujet pour 2026 selon Pascal Gilbert. Elle est certes entravée par une consommation des ménages qui fléchit, des créations d’emploi qui ralentissent, des prix de l’immobilier qui stagnent et par le ralentissement des flux migratoires, l’une des priorités de Donald Trump. Toutefois, si l’on met de côté la consommation, les autres composantes du PIB américain (investissement, dépense publique, balance commerciale) devraient s’améliorer en 2026.
L’IA, moteur important de la croissance américaine, devrait conserver un rôle prépondérant en 2026. « La place de l’IA reste centrale. C’est la clé pour 2026 pour l’économie et le marché », explique Pascal Gilbert. Les besoins énergétiques pour alimenter les centres de données sont vertigineux. « La consommation d’électricité par l’IA nécessite la production de l’équivalent de 50 centrales nucléaires aux Etats-Unis sur les 5 prochaines années2 », commente Pascal Gilbert. Compte tenu du nombre d’années nécessaires à la construction d’une centrale, les énergies renouvelables joueront un rôle clé pour étancher la soif énergétique des infrastructures liées à l’IA. Pascal Gilbert note que le principal facteur limitant pouvant ralentir le développement de l’IA est le manque de main d’œuvre compétente.
Le déficit de la balance commerciale devrait se réduire en 2026 avec la politique tarifaire de Donald Trump. La croissance devrait finalement résister aux Etats-Unis en 2026, avec une contribution des composants différente de 2025, selon Pascal Gilbert.
Quant à l’inflation américaine, Mabrouk Chetouane, responsable de la stratégie des marchés chez Natixis Investment Managers, souligne que les Etats-Unis sont une économie fermée. Ils n’importent que 25% des biens manufacturés qu’ils consomment. Seules ces importations sont touchées par les barrières douanières, limitant de facto drastiquement leur pouvoir de courroie de transmission de l’inflation. L’inflation aux Etats-Unis est d’origine principalement interne, essentiellement impactée par l’inflation des services. Tiraillée entre ses deux objectifs, la Fed privilégie actuellement le soutien au marché du travail à l’inflation, observe Mabrouk Chetouane.
En Europe, les retombées économiques attendues du plan de relance allemand, qui a suscité beaucoup d’espoirs, ne se voient pas encore dans les chiffres allemands. « On part d’un point de départ très bas. Les effets du bazooka mettront beaucoup de temps à infuser dans l’économie. Il ne faut pas les surestimer », prévient Mabrouk Chetouane. Hormis l’Allemagne, la plupart des autres pays de l’Union Européenne affichent des ratios de dette sur PIB supérieurs à 100%, limitant les marges de manœuvre budgétaires des gouvernements pour stimuler la croissance. Le facteur géopolitique a également des impacts budgétaires. La guerre en Ukraine et la menace militaire russe pèsent dans les arbitrages budgétaires. La possibilité de retrait à terme du parapluie sécuritaire américain préoccupe les pays de l’Union Européenne. Cette épée de Damoclès les pousse à revoir à la hausse leurs dépenses consacrées à la défense et l’armement, dans un contexte budgétaire déjà très contraint. La population vieillissante en Europe représente également un vrai défi, obérant la croissance potentielle, estime Pascal Gilbert. Selon lui, la pente naturelle des ménages européens à favoriser l’épargne face à la consommation ne devrait pas être contrariée par 1/le ralentissement de la hausse des salaires, 2/l’instabilité politique qui peut, dans certains pays comme la France, geler les embauches et les investissements ainsi que par 3/ le caractère anxiogène de la guerre en Ukraine. La croissance en Europe devrait toutefois rester positive, quoique faible.
« Les dettes d’Etat ne sont plus des valeurs sûres », constate Pascal Gilbert. « On l’a vu en avril avec le Liberation Day ». Les spreads des principaux taux 10 ans (US, UK, Allemagne, Japon) des pays développés sont majoritairement positifs par rapport au taux sans risque. Seule la Suisse, qui certes émet peu de dette et présente une moindre profondeur de marché, fait exception. Mabrouk Chetouane tempère ce constat de disparition des actifs sans risque. « La dette d’entreprise de qualité Investment Grade peut jouer ce rôle d’amortisseur, avec des émetteurs proposant dans certains pays un rendement inférieur à la dette souveraine. Il n’y a plus de crise de la dette souveraine à l’heure du TPI [Transmission Protection Instrument], l’arme nucléaire des banques centrales. Les banquiers centraux, les Etats et les investisseurs n’ont pas oublié ce qu’a coûté la crise de la dette souveraine à l’Europe et aux populations des pays périphériques au début des années 2010. Le coût de la crise est bien supérieur à celui de sa résolution ».
Dans cet environnement incertain, les banques centrales continuent d’occuper un rôle clé. Les banquiers centraux rassurent les marchés qui leur font confiance. L’inflation inquiète finalement davantage les banquiers centraux que les marchés. « L’inflation n’est pas un enjeu pour 2026 », pronostique Pascal Gilbert.
En conclusion, Pascal Gilbert pense que l’obligataire reste une classe d’actifs à considérer pour 2026, si la croissance résiste, si l’inflation continue de fléchir et si aucun grain de sable ne vient enrayer la machine. Le maintien de taux bas, dans un contexte d’endettement public élevé, est nécessaire pour continuer d’alimenter la croissance très capitalistique de l’IA.
Actions US: growth ou value?
Les actions américaines peuvent s’intégrer dans une allocation de différentes façons. On oppose souvent les styles « Growth » et « Value » mais les différences entre les deux approches ne sont pas toujours flagrantes et les frontières peuvent être poreuses.
L’équipe de gestion Actions US Growth de Loomis Sayles, un affilié de Natixis Investment Managers, investit avec une perspective de long terme. Les fortes convictions de gestion sont reflétées dans un portefeuille concentré, avec une faible rotation. L'équipe cherche à investir dans quelques entreprises de haute qualité qui présentent des avantages concurrentiels durables et une croissance rentable. La sélectivité est très forte. “Nous pensons que seulement 1% de toutes les entreprises dans le monde répondent à ces critères », estime Hollie Briggs, CFA, Head of Global Product Management chez Loomis Sayles. L’équipe de gestion investit uniquement lorsque le cours de l'action se négocie avec une décote significative par rapport à l'estimation de la valeur intrinsèque. L'équipe ignore le bruit médiatique et la volatilité à court terme, et profite de la faiblesse du cours de l'action pour initier ou compléter des positions, patientant parfois très longtemps jusqu’à ce que le bon prix d’entrée se présente.
Pour Daniel Nicholas, CFA, Client Portfolio Manager chez Harris Ι Oakmark, un affilié américain de Natixis Investment Managers, une entreprise doit remplir trois conditions pour intégrer le portefeuille d’actions américaines d’Harris Ι Oakmark : une décote de 30% (que l’on pourrait résumer à une marge de sécurité), une activité en croissance générant des flux des trésorerie et enfin une équipe dirigeante alignée avec les intérêts de l’actionnaire et capable de faire croître l’entreprise.
Le Price Earnings Ratio [PER] n’est pas l’alpha et l’oméga d’une gestion Growth ou Value. « Lorsque nous analysons les entreprises d’un univers d’investissement, nous ne regardons pas le prix en premier, mais la qualité de l’équipe dirigeante », précise Daniel Nicholas. Hollie Briggs abonde dans son sens. « Quand nous regardons la valorisation, nous ne regardons pas le multiple PER. Notre priorité numéro 1 est d’avoir une compréhension très fine des activités dans lesquelles nous investissons à long terme.». Ce qui rapproche en revanche les stratégies de Loomis Sayles et Harris Ι Oakmark est tout d’abord la recherche d’un coussin de sécurité, avec pour Loomis Sayles un potentiel de hausse de 40% minimum (ou dit autrement une décote de 40% par rapport à l’estimation de valeur intrinsèque) pour les plus grosses positions du portefeuille. Un autre point commun est la robustesse de leur processus d’investissement. Le process d’Harris Ι Oakmark n’a quasiment pas changé depuis 1976. Harris Ι Oakmark se concentre depuis près de 50 ans sur ce qu’il sait faire : investir avec une décote, sans chercher à se diversifier.
Alors que la question d’une possible bulle sur l’Intelligence Artificielle inquiète les investisseurs et fait la une des journaux, Hollie Briggs commente : « Il peut y avoir une correction. Cela ne signifie pas pour autant que nous pensons qu’il y a une bulle. Il y aura probablement une bulle. L’IA est le plus grand changement technologique depuis l’avènement d’Internet. Et il y a eu l’explosion de la bulle des télécoms et d’internet. Toutefois ce que pouvons retenir de ces grandes transitions technologiques est que si le monde sous-estime l’impact et la magnitude de ces changements, il surestime le nombre des gagnants. Nous pensons qu’il y aura quelques gagnants structurels à long terme et c’est dans ces entreprises que nous cherchons à investir. »
Allocation d’actifs : Bilan de L’année 2025 et choix stratégiques des GFI pour 2026
Pour Julien Dauchez, Directeur du pôle Solutions chez Natixis Investment Managers, « 2025 a été un excellent cru. » En 20253, les investisseurs se sont littéralement rués vers l’or, dans la continuité des années précédentes. Le métal précieux est notamment utilisé par les banques centrales du Sud Global pour dé-dollariser leurs réserves de change et se protéger contre le risque géopolitique et l’érosion du dollar. Les investisseurs particuliers sont venus ensuite amplifier la progression des cours. La perception du risque sur les obligations américaines, mesuré par l’indice MOVE, a poursuivi sa lente décrue après les sommets atteints pendant la crise du Covid et les chocs inflationnistes qui l’ont accompagnée.
« La performance appelle la performance. » analyse Julien Dauchez. En termes de flux, si l’on considère les portefeuilles des institutionnels, des distributeurs et des particuliers du monde entier à l’exception des Etats-Unis, les actions internationales de grande capitalisation sont les grandes gagnantes au sein de la classe actions en 2025, reflétant la recherche de diversification au-delà des actions américaines, dont la capitalisation boursière est très concentrée autour de quelques valeurs technologiques. L’intérêt croissant des investisseurs pour les actions émergentes asiatiques et chinoises ainsi que pour les actions japonaises participe du même mouvement. Le mouvement pendulaire des flux entre l’Europe et la Tech américaine reflète la valse-hésitation des investisseurs au gré des incertitudes suscitées par la politique de Donald Trump.
2025 restera dans les annales comme une autre belle année obligataire, après 2024, avec une focale des investisseurs sur la partie courte de la courbe. Cette tendance est la conséquence de l’inquiétude suscitée par l’incontinence budgétaire des grands pays développés. Les investisseurs préoccupés par la partie longue se sont déportés vers la partie courte. Les émetteurs souverains, par exemple au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis, accompagnent ce mouvement. Idem sur le crédit, où la duration moyenne dans les portefeuilles se raccourcit. Enfin, les investisseurs continuent de se tourner vers les obligations notées high yield, faisant mentir les prédictions pessimistes des grandes institutions financières du début d’année.
Dans la catégorie des segments alternatifs, les métaux précieux se sont démarqués, alors que les hedge funds, dans leur format traditionnel, font leur grand retour dans l’allocation des investisseurs.
En Europe, les investisseurs se sont distingués par leur prudence en privilégiant la dette court terme. C’est ce qui ressort du classement des ventes nettes par Morningstar depuis le début de l’année, rapportées à leur encours. Ce positionnement « risk-off » en Europe continentale, très marqué en Italie, contraste avec celui « risk on » d’investisseurs plus audacieux, notamment en Suisse. La Suisse a privilégié en 2025 les métaux précieux ainsi que les actions émergentes et les grandes capitalisations internationales.
Les investisseurs plutôt averses au risque et jugeant les actions américaines survalorisées ont paradoxalement peur de rater le rallye (Fear of Missing out - FOMO), dans un contexte de grande intensité concurrentielle entre les conseillers financiers et les plateformes.
Les Etats-Unis restent au cœur des préoccupations des investisseurs, que ce soient la politique tarifaire qui pourrait avoir un effet décalé dans le temps sur l’inflation américaine, la situation réelle du marché de l’emploi, l’indépendance future de la Fed ou la forte dépendance de la croissance américaine à l’IA.
La concentration très forte de la performance du S&P500 [10 actions représentent 45% de la capitalisation de l’indice] inquiète à juste titre. Toutefois, les rangs des valeurs locomotives de l’indice américain participant à ce rallye boursier, à même de battre l’indice, pourraient s’élargir.
A l’orée de 2026, si l’on en croit l’enquête menée chaque année depuis 7 ans par Natixis auprès des grandes institutions financières [GFI], ces dernières cherchent à participer à la révolution de l’IA, sans se cantonner aux 10 plus grosses capitalisations du S&P500. Les pistes d’investissements potentiels sont nombreuses : la technologie chinoise ou européenne, le non coté, la construction de centres de données, les fournisseurs d’énergie, les secteurs pouvant profiter de la révolution de l’IA comme les laboratoires pharmaceutiques avec la découverte de vaccins par l’IA etc.
Les investisseurs suivront avec attention en 2026 les élections de mi-mandat aux Etats-Unis en fin d’année ainsi que la nomination du prochain président de la Fed qui succédera en mai à Jerome Powell. L’administration Trump sera tentée par des mesures en faveur du pouvoir d’achat et du tissu économique américain (déréglementation, cadeaux fiscaux) en amont des élections. Les Small caps américaines pourraient en bénéficier.
Les GFI chercheront à convaincre leurs clients de sortir du cash en leur proposant des alternatives.
L’émergence de cygnes noirs, toujours difficiles à prévoir, ne peut être exclue. Nous saurons fin 2026 si un hypothétique conflit entre la Chine et le Japon, qui perturberait les échanges mondiaux, ou une crise gouvernementale créée par une désinformation produite par l’IA, relevaient de la science-fiction ou de la prédiction.
'Présentation Perspectives Genève 2026’
1 Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Risque de perte en capital.
2 : source : DNCA
2 : YTD, au 1er décembre 2025
* Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Risque de perte en capital.
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